Après l'installation de Pelican avec pip ( voir http://www.simonlefort.be/links/?TcVjJw ), j'ai eu un soucis en voulant compilant des articles de test.

| simon@ordi: ~/pelican $ make html
| [ ! -d /home/simon/pelican/output ] || find /home/simon/pelican/output -mindepth 1 -delete pelican /home/simon/pelican/content -o /home/simon/pelican/output -s /home/simon/pelican/pelicanconf.py
| WARNING: No valid files found in content.
| Done: Processed 0 articles and 0 pages in 0.37 seconds.

Or, il y a deux articles en markdown dans le dossier "content". Problème résolu en installant python-markdown (qui aurait pourtant du s'installer avec l'installation de Pelican ?).
| simon@ordi: ~/pelican $ sudo apt-get install python-markdown

Après, on re-tente un "make html" :
| simon@ordi: ~/pelican $ make html
| pelican /home/simon/pelican/content -o /home/simon/pelican/output -s /home/simon/pelican/pelicanconf.py
| Done: Processed 2 articles and 0 pages in 0.15 seconds.

On nettoie le dossier /var/www/ qui contient le site :
| simon@ordi: ~/pelican $ sudo rm -r /var/www/*

Et on recopie le dossier pelican/output/ dans /var/www/ :
| simon@ordi: ~/pelican $ sudo cp -r output/* /var/www/

Ça marche ! :-)

Le principe consiste à faire tourner de très petites machines virtuelles pour chaque process. Ça permet :
1) Ne pas pourrir sa machine principale.
2) Avoir une configuration facilement portable d'une machine à l'autre. (On a juste à déplacer la mini-VM)
3) On sait que ça marchera partout, même sous des versions de Linux différentes.

À tester.

J'ai commencé à m'intéresser à Pelican depuis quelques semaines (voir http://simonlefort.be/links/?aJMafA ). J'ai depuis installé une Debian 7.5 (Wheezy) dans une machine virtuelle pour tester vraiment avec un serveur bien installé et propre. J'ai donc du réinstaller Pelican.

La première chose à faire, installer pip :
| simon@debian:~$ sudo apt-get install python-pip

Si vous vous demandez ce qu'est pip, foncez chez Sam&Max : http://sametmax.com/votre-python-aime-les-pip/ !
Une fois pip installé, il n'y a plus qu'à installer Pelican avec :
| simon@debian:~$ pip install pelican
(note : Pas besoin d'être root si un seul compte l'utilise. Pour que tous les utilisateurs puissent l'utiliser, alors il est préférable de table "sudo pip install pelican".)

C'est tout ! \o/

Il y a également une histoire d'environnement virtuel avec virtualenv qui permet de séparer les différents projets sur lesquels on travaille mais je ne me suis pas encore penché sur son fonctionnement. Plus d'informations -encore une fois- chez S&M : http://sametmax.com/les-environnement-virtuels-python-virtualenv-et-virtualenvwrapper/

Ce vélo est très intéressant car son design est minimaliste. Il est simple, design et probablement peu cher à fabriquer (peu d'éléments).
Cependant, il manque quand même un truc essentiel : les freins. Certains modèles sont équipés d'un frein avant mais c'est le frein arrière qu'on utilise le plus... (Et je ne parle pas du risque relatif au coup de frein avant...)

Pas de vitesses, c'est sympa aussi car il n'y a pas d'entretient. C'est cool pour rouler à la mer mais dès que ça monte un peu, ça devient galère.

"FUCK OFF ! IT'S MY LANE TOO"

Qu'on peut traduire par "Va te faire voir, c'est aussi ma voie/ma route".
Comme le dit Jeekajoo, c'est un peu violent mais ça a le mérite d'être clair.

Je me fais régulièrement frôler par des voitures qui ne se rendent pas compte du risque... La différence de vitesse est vraiment impressionante quand quelqu'un te frôle à 80 à l'heure et que tu es à 15. C'est comme si vous vous faisiez dépasser par un gars à 185 sur l'autoroute !

(via https://fralef.me/links/?mT4ATg )

Si vous voulez des fraises, plantez-en ou acheter des fraises locales !

(via https://fralef.me/links/?qQzwqA )

Dans quel ordre lire une partie des nombreux romans d'Asimov ? Sammy nous livre ici une petite liste intéressante. Il m'en manque quelques uns avant d'avoir toute la liste et relire tout le cycle.

Un cours sur le développement web pour les lycéens donc facile d'accès pour s'initier. À regarder d'un peu plus près.

(via http://ithake.eu/shaarli/?DG6cBw , lui-même via http://binaire.blog.lemonde.fr/2014/04/21/a-valider-lenseignement-de-la-programmation-au-lycee/ )

Tmux, une alternative à Screen ?
Ce sont tous deux des "Multiplexeurs de terminaux". J'utilise régulièrement screen, il permet de "découper" le terminal et d'avoir, par exemple, une partie avec un "man" et l'autre où on teste la commande. Vraiment très pratique même si je n'utilise pas 1% de la puissance de la bête.

Tmux sur Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Tmux
Screen sur Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/GNU_Screen

:-)

Je trouve plein de blogs qui utilisent Pelican (et qui du coup, racontent aussi des choses intéressantes!).

Je suis en train de regarder pour faire un site avec Pelican et je suis tombé sur cette police de caractère et d'icônes assez sympa. :-)

(via http://skitoo.net/colophon.html )

Pelican correspond à ce que je recherche pour créer un site. Mais il faut que j'apprenne à dompter la bête, ce qui n'est pas encore gagné. Comme ça parait "simple" pour beaucoup, il y a très peu de ressources et tutoriels pour apprendre à utiliser ce genre de générateur... Si j'y arrive, j'écrirai un petit article sur la méthode pour y arriver.

Installation de Pelican : (/!\ J'ai vu après qu'il était possible de l'installer via pip, ce qui est plus simple!)
Télécharger l'archive .zip depuis github, se rendre dans le bon dossier et l'extraire.
| simon@ordi ~ $ unzip pelican-master.zip

Se rendre dans dossier pelican-master :
| simon@ordi ~ $ cd pelican-master

Installer pelican :
| simon@ordi ~ $ sudo python setup.py install
| (...)
| Using /usr/lib/python2.7/dist-packages
| Finished processing dependencies for pelican==3.3

La suite ?

(Sources et tutoriels :
http://shebang.tuxfamily.org/introduction-a-pelican
http://docs.getpelican.com/en/3.3.0/
tutoriel pour démarrer et mettre le site sur Github : http://martinbrochhaus.com/pelican2.html
un autre : http://ntanjerome.org/blog/how-to-setup-github-user-page-with-pelican/
un autre : https://chdoig.github.io/create-pelican-blog.html
un autre : https://zonca.github.io/2013/09/automatically-build-pelican-and-publish-to-github-pages.html
un site en pelican sur Github, pas mal pour avoir des exemples : https://github.com/kfr2/kfr2.github.com => http://magically.us/
une autre ressource très intéressantes avec les documents de configs : http://terriyu.info/blog/posts/2013/07/pelican-setup/
plugin pour faire du LaTeX dans Pelican : https://github.com/getpelican/pelican-plugins/tree/master/render_math )

Pour ajouter un plugin dans Pelican, il faut ajouter le dossier vers les plugins (PLUGIN_PATH) et le noms des plugins (PLUGINS : []).
Le fichier à modifier est dans /usr/local/lib/python2.7/dist-packages/pelican .

t, un liste des tâches en ligne de commande.
Il faut que je teste ça pour m'organiser un peu. :-)

Mise en situation : Vous avez téléchargé un documentaire sur votre eeepc et vous souhaitez le regarder sur votre ordinateur de bureau (avec son écran 27" !). Pas de clé usb sous la main et pas assez de place sur le disque dur de l'ordinateur de bureau pour l'envoyer avec SCP. (Le documentaire est en Full HD !)

Il est possible d'utiliser SSH pour faire du streaming entre deux machines.
Il faut lancer la commande à partir de l'ordinateur sur lequel vous voulez que la vidéo s'affiche :
| ========
| simon@ordiBureau ~ $ ssh simon@192.168.1.47 "cat ~/documentaire.mp4" | mplayer -
| ========

Ça marche, mais si votre connexion n'est pas très rapide ou que vous êtes en wifi, ça peut être lent. La solution est d'activer le cache de mplayer. On rajoute donc l'option à la fin de la commande précédente.
| ========
| simon@ordiBureau ~ $ ssh simon@192.168.1.47 "cat ~/documentaire.mp4" | mplayer -cache 8192 -
| ========

Il est possible d'augmenter le cache beaucoup plus pour avoir quelque chose de vraiment fluide. (Tout dépend de votre connexion.)

(sources :
utilisation de ssh : http://artisan.karma-lab.net/differents-canaux-ssh
option "cache" de mplayer : http://www.mplayerhq.hu/DOCS/HTML/en/streaming.html )

Heartbleed peut également cibler les clients et non pas seulement les serveurs...

Je viens de tester SkypeFreak, un outil d'analyse pour Skype écrit en Python. (Les sources sont disponibles là : https://github.com/yasoob/SkypeFreak/blob/master/source/SkypeFreak.py )
Il faut savoir que sur Skype, les données ne sont pas chiffrées. Le script analyse donc le fichier main.db à la recherche d'informations. Dans mon cas, le fichier est dans le dossier "~/.Skype/s.lefort/"

C'est effrayant de voir tout ce que Skype laisse en accès libre ! Contacts, messages, appels... Rien n'est protégé !

Pour lancer le script, il faut l'enregistrer dans un fichier .py (PythonFreak.py) et le lancer via la commande suivante (Attention à utiliser Python3, j'ai eu des bugs avec Python2.7.4) :
| simon@ordi ~ $ python3 PythonFreak.py

Il demande tout d'abord un nom d'utilisateur :
| [~] Enter your Skype Username: s.lefort

Ensuite, un menu s'ouvre et permet de choisir différentes options :

Il propose ensuite de sauver les résultats dans un fichier :
| [~] Would you like to save these results in a file?

(via Korben : http://korben.info/forensics-skype.html )

Synergy est un logiciel libre qui permet de synchroniser un clavier et une souris entre plusieurs ordinateurs. Il est donc possible de n'avoir qu'un clavier sur son bureau pour différents ordinateurs. :-) Intéressant, non ?

En plus, il fonctionne sur GNU/Linux mais aussi sur MAC OS X et Windows. La seule condition pour son bon fonctionnement, c'est que les machines soient connectées sur le même réseau. Je l'ai testé aujourd'hui et j'ai pu utilisé le touchpad d'un MacBook Air pour contrôler mon ordinateurs sous Linux Mint. Et mon dual screen sur celui-ci n'a pas du tout posé problème.

Pour savoir si votre système GNU/Linux est en 32 ou 64 bits, il suffit de taper la commande "uname" avec l'argument "-a" ou "-m".
Par exemple :

| simon@ordi ~ $ uname -a
| Linux simon-linux 3.8.0-19-generic #30-Ubuntu SMP Wed May 1 16:36:13 UTC 2013 i686 i686 i686 GNU/Linux

ou

| simon@ordi ~ $ uname -m
| i686

Si le résultat est x86_64, c'est du 64 bits.
Si le résultat est différent (i686, i386...), c'est du 32 bits.

À mourir de rire !

(via sebsauvage : http://sebsauvage.net/links/?8EquFg )